Rien n’oblige un kickeur à prendre soin de son haki me direz-vous. Mais la relation qui s’établit entre le macramé et son maître peut parfois dépasser la simple dimension matérielle. Ici, des conseils et des précautions d’usage à l’intention des hakiplayers responsables.
CONCEPTION :
Voici la mise au monde d’un haki par la technique du crochetage. Toute la marche à suivre est détaillée. Intéressant pour ceux qui souhaitent réparer des crevasses dans les règles de l’art ! A vos tricots !
Le résultat est bon mais pas exceptionnel au niveau des « pôles » du haki, les parties déterminantes.
Pour info, il est également possible de customisé son haki sur commande…
NETTOYAGE :
Négliger le bien-être de nos hakis serait une faute grave. Car un haki en bonne santé est un haki consentant.
Il est vrai que l’exemple qui suit concerne les footbags mais je suis persuadé qu’un haki se plairait à prendre un bain et un séchage pratiqués avec amour. Seuls l’éclat et la tension des mailles seraient altérés selon moi. Si vous avez tentez l’expérience, partagez-la !
Et pourquoi pas un petit sac pour le protéger tant qu’on y est ?!
REPARATION :
Bon à rappeler : en cas de vidage (ou vidange), il est possible d’approvisionner son haki en gragniottes… Ici, une gentille dame nous explique sa technique de remplissage.
Pour ma part, un haki décédé n’a pas à ressusciter. Son histoire s’achève, point.
Et pour les brutes épaisses, sachez qu’il existe même des hakis métalliques !
Un haki pour la vie ! Séduisant non ?